mercredi 27 mai 2009
mardi 26 mai 2009
La Flourie au printemps, shootée par Thibault
Durant ce we de l'Ascension, nous avons eu la joie de recevoir la visite de deux plongeurs émérites : Sébastien et Thibault, pour ne pas les citer...
Cette arrivée impromptue ne fut malheureusement pas suivie des agapes "logiques" auxquelles nous aurions eu droit habituellement : nous étions déjà invités par ailleurs, et nous dûmes laisser la maison, toute occupée par les hôtes, par nos deux compères et par les enfants, trop heureux de trouver de nouvelles victimes pour jouer au foot...
Toujours est-il que le lendemain, Thibault, photographe de son état, ne laissait pas l'occasion lui échapper de saisir le premier appareil venu pour faire quelques shoots de la maison.
Cette arrivée impromptue ne fut malheureusement pas suivie des agapes "logiques" auxquelles nous aurions eu droit habituellement : nous étions déjà invités par ailleurs, et nous dûmes laisser la maison, toute occupée par les hôtes, par nos deux compères et par les enfants, trop heureux de trouver de nouvelles victimes pour jouer au foot...
Toujours est-il que le lendemain, Thibault, photographe de son état, ne laissait pas l'occasion lui échapper de saisir le premier appareil venu pour faire quelques shoots de la maison.
Pour plus de plaisir encore, je recommande la visite de son site, dont la variété des sujets illustre bien une curiosité protéiforme en alerte
Vivement qu'il revienne avec son matériel, et pourquoi pas, quelques photos à accrocher sur nos murs...
"longe côte"
Le week-end dernier, Pascal, du Surfschool, nous a proposé de tester une nouvelle activité : le "longe-côte" !
Initié par un moniteur de kayak de Dunkerque qui souhaitait proposer un entraînement complémentaire à ses compétiteurs, cet exercice consiste en une marche le long de la plage, le corps à moitié immergé.
Les vertus sont nombreuses, et outre le bienfait de se retrouver dans l'eau, c'est surtout l'activité musculaire en semi apesanteur qui permet d'éviter les habituels traumatismes générés par la course.
Quoi qu'il en soit, le soleil était au rendez vous et la bande de copains qui occupait la maison s'est pliée à cette petite surprise dont ils sont ressortis vigorifiés et enchantés.
Initié par un moniteur de kayak de Dunkerque qui souhaitait proposer un entraînement complémentaire à ses compétiteurs, cet exercice consiste en une marche le long de la plage, le corps à moitié immergé.
Les vertus sont nombreuses, et outre le bienfait de se retrouver dans l'eau, c'est surtout l'activité musculaire en semi apesanteur qui permet d'éviter les habituels traumatismes générés par la course.
Quoi qu'il en soit, le soleil était au rendez vous et la bande de copains qui occupait la maison s'est pliée à cette petite surprise dont ils sont ressortis vigorifiés et enchantés.
Séverine, prête à tout a fait partie de la fournée, et pourra témoigner du plaisir qu'elle prit à cette matinée sportive... quoi qu'on en pense !!!
jeudi 14 mai 2009
Il faut relancer le moteur
Jeudi soir - 22h20
Enfin, la machine semble se relancer.
Depuis 15 jours, la fin des travaux dans les deux dernières chambres et leur occupation immédiate nous ont quelque peu éloigné de la suite du chantier. Du reste, en sommes-nous toujours au chantier ?
Les hôtes vont et viennent, avec, déjà, des rencontres qui ne devraient pas rester sans suite. Ces moments de partage sont fugaces; pendant le petit déjeuner, essentiellement, parfois autour d'un thé au coin du feu, ou, enfin, dans le vestibule lors des allers et venues des uns et des autres pour s'enquérir de la satisfaction obtenue pendant une ballade ou en sortant d'un restaurant.
La maison se remplit de souvenirs. Les nôtres, mais surtout, je l'espère, pour nos invités d'un soir.
C'est dans ce constat que nous puisons notre récompense. Le livre d'or peut déjà s'enorgueillir de témoignages sympathiques, voir émouvants, comme celui de cette jeune femme qui a été demandée en mariage.
Bref, la réalité quotidienne, ce n'est plus le marteau et la visseuse, mais les morceaux de vies que l'on croise. Et s'il simple de s'épancher sur ses humeurs, comme je le fais ici, ça l'est moins de poursuivre cette relation épistolaire en parlant des autres. C'est la question à laquelle je suis confrontée depuis que mes journées sont parsemées de ces rencontres. Il est vrai que la mise en ligne du site web m'a permis de passer beaucoup de temps devant mon écran, et que j'ai moins envie de m'y recoller le soir venu. Mais tout de même, il importe de trouver un nouveau souffle, et il n'est pas encore là...
Alors, je relance le chantier en direction de la Sainte Barbe, cette dépendance qui jouxte la maison et dans laquelle je dois aménager le nouvel atelier de Séverine, ainsi que notre buanderie. Soyons francs : cela me rebute, car le point de départ : c'est des canalisations, et ce n'est vraiment pas ma tasse de thé. De plus, je me suis mis dans la tête d'approvisionner la machine à laver avec l'eau du puits, et il faut donc créer des nouvelles structures pour amener l'eau.
Il faudra pourtant que j'avance la-dessus !
Pour commencer, j'ai effectué une première phase de terrassement afin de me décrasser et de voir si, en retournant la terre je ne trouvais pas une canalisation qui trainait par là. J'ai découvert une vieille citerne enterrée, pleine d'eau de pluie apparemment, une évacuation encombrée de terre, et dont je n'ai pas réussi encore à trouver l'issue...
Et aujourd'hui, j'avais rendez-vous avec Sylvain le Scour, élagueur de son état. Accompagné d'un de ses collaborateurs, nous avons passé la journée à couper un cyprès qui menaçait le cèdre de l'Himalaya et le charme dont il était très proche. J'ai pu admirer la dextérité de ce voltigeur des cimes. Surtout, j'ai découvert un homme qui regrette d'avoir à couper les arbres, et qui les aime sincèrement. Il les connaît aussi.
Un vrai plaisir de travailler en sa compagnie. Je le recommande vivement, en souhaitant moi même le revoir à la maison un jour ou l'autre...
A suivre.
Depuis 15 jours, la fin des travaux dans les deux dernières chambres et leur occupation immédiate nous ont quelque peu éloigné de la suite du chantier. Du reste, en sommes-nous toujours au chantier ?
Les hôtes vont et viennent, avec, déjà, des rencontres qui ne devraient pas rester sans suite. Ces moments de partage sont fugaces; pendant le petit déjeuner, essentiellement, parfois autour d'un thé au coin du feu, ou, enfin, dans le vestibule lors des allers et venues des uns et des autres pour s'enquérir de la satisfaction obtenue pendant une ballade ou en sortant d'un restaurant.
La maison se remplit de souvenirs. Les nôtres, mais surtout, je l'espère, pour nos invités d'un soir.
C'est dans ce constat que nous puisons notre récompense. Le livre d'or peut déjà s'enorgueillir de témoignages sympathiques, voir émouvants, comme celui de cette jeune femme qui a été demandée en mariage.
Bref, la réalité quotidienne, ce n'est plus le marteau et la visseuse, mais les morceaux de vies que l'on croise. Et s'il simple de s'épancher sur ses humeurs, comme je le fais ici, ça l'est moins de poursuivre cette relation épistolaire en parlant des autres. C'est la question à laquelle je suis confrontée depuis que mes journées sont parsemées de ces rencontres. Il est vrai que la mise en ligne du site web m'a permis de passer beaucoup de temps devant mon écran, et que j'ai moins envie de m'y recoller le soir venu. Mais tout de même, il importe de trouver un nouveau souffle, et il n'est pas encore là...
Alors, je relance le chantier en direction de la Sainte Barbe, cette dépendance qui jouxte la maison et dans laquelle je dois aménager le nouvel atelier de Séverine, ainsi que notre buanderie. Soyons francs : cela me rebute, car le point de départ : c'est des canalisations, et ce n'est vraiment pas ma tasse de thé. De plus, je me suis mis dans la tête d'approvisionner la machine à laver avec l'eau du puits, et il faut donc créer des nouvelles structures pour amener l'eau.
Il faudra pourtant que j'avance la-dessus !
Pour commencer, j'ai effectué une première phase de terrassement afin de me décrasser et de voir si, en retournant la terre je ne trouvais pas une canalisation qui trainait par là. J'ai découvert une vieille citerne enterrée, pleine d'eau de pluie apparemment, une évacuation encombrée de terre, et dont je n'ai pas réussi encore à trouver l'issue...
Et aujourd'hui, j'avais rendez-vous avec Sylvain le Scour, élagueur de son état. Accompagné d'un de ses collaborateurs, nous avons passé la journée à couper un cyprès qui menaçait le cèdre de l'Himalaya et le charme dont il était très proche. J'ai pu admirer la dextérité de ce voltigeur des cimes. Surtout, j'ai découvert un homme qui regrette d'avoir à couper les arbres, et qui les aime sincèrement. Il les connaît aussi.
Un vrai plaisir de travailler en sa compagnie. Je le recommande vivement, en souhaitant moi même le revoir à la maison un jour ou l'autre...
A suivre.
jeudi 7 mai 2009
Entre deux... chantiers
Jeudi soir, 23h37
En perdant le fil de mon quotidien, je perds aussi mon assiduité épistolaire.
Ce we, nous fêtons notre premier mois d'ouverture. Déjà, certains visages s'estompent et d'autres restent. Avec Paul, Jacques ou Eglantine, on prend son temps le matin, et l'on discute; avec les autres, ceux dont je ne connaîtrais jamais le prénom ou le nom, l'échange reste formel, voir prudent.
Toujours est-il qu'après l'inquiétude de la fin du chantier, on a basculé dans le souci du taux de remplissage. On a beau avoir confiance dans le travail accompli, dont le site, apparemment, rend compte (certains contacts révèlent que le choix n'est pas juste du à la disponibilité mais aussi à ce que l'on voit de la maison), il n'empêche que les beaux jours arrivent, et que mon planning ne se remplit pas assez vite à mon goût. Sans doute ai-je besoin d'être rassuré.
Les aléas du "métier", c'est aussi l'attente, comme ce soir, ou j'attends une famille qui n'arrivera pas avant minuit et demie...
J'en profite pour flâner sur mon clavier...
Pour parler de Xavier, le Trotteur Global, qui nous a fait la joie de passer quelques jours à la maison. Il fallait bien cela, d'ailleurs, pour faire le tour des quelques milliers de photos de son disque dur. J'ai pu en sélectionner une petite centaine, et j'espère pouvoir créer une série de tirages qui permettront de créer une vraie saveur de là-bas...
A suivre...
Pour parler de Pierrick, alias Peter, photographe dédié à la mer.
Entre deux allers retours en Italie ou je ne sais quelle baie où se déroulent des compétitions de voiles, il aménage un grand studio à Saint Servan. L'idée, entre nous, c'est d'abord d'organiser des week-ends dédiés à la photos, pour des petits groupes de personnes, désireux d'apprivoiser leur réflex numérique afin qu'ils puissent enfin exprimer leurs émotions, éduquer leur regard peut-être, et découvrir quelques bases de traitements de l'image.
Le programme devrait s'affiner dans les semaines qui viennent et les premières propositions de we venir ensuite.
Pour parler aussi de Stéphane, dont on parle beaucoup en ce moment, au travers de son exposition et d'un livre rempli d'émotions en noir et blanc.
C'est chouette...
Ce we, nous fêtons notre premier mois d'ouverture. Déjà, certains visages s'estompent et d'autres restent. Avec Paul, Jacques ou Eglantine, on prend son temps le matin, et l'on discute; avec les autres, ceux dont je ne connaîtrais jamais le prénom ou le nom, l'échange reste formel, voir prudent.
Toujours est-il qu'après l'inquiétude de la fin du chantier, on a basculé dans le souci du taux de remplissage. On a beau avoir confiance dans le travail accompli, dont le site, apparemment, rend compte (certains contacts révèlent que le choix n'est pas juste du à la disponibilité mais aussi à ce que l'on voit de la maison), il n'empêche que les beaux jours arrivent, et que mon planning ne se remplit pas assez vite à mon goût. Sans doute ai-je besoin d'être rassuré.
Les aléas du "métier", c'est aussi l'attente, comme ce soir, ou j'attends une famille qui n'arrivera pas avant minuit et demie...
J'en profite pour flâner sur mon clavier...
Pour parler de Xavier, le Trotteur Global, qui nous a fait la joie de passer quelques jours à la maison. Il fallait bien cela, d'ailleurs, pour faire le tour des quelques milliers de photos de son disque dur. J'ai pu en sélectionner une petite centaine, et j'espère pouvoir créer une série de tirages qui permettront de créer une vraie saveur de là-bas...
A suivre...
Pour parler de Pierrick, alias Peter, photographe dédié à la mer.
Entre deux allers retours en Italie ou je ne sais quelle baie où se déroulent des compétitions de voiles, il aménage un grand studio à Saint Servan. L'idée, entre nous, c'est d'abord d'organiser des week-ends dédiés à la photos, pour des petits groupes de personnes, désireux d'apprivoiser leur réflex numérique afin qu'ils puissent enfin exprimer leurs émotions, éduquer leur regard peut-être, et découvrir quelques bases de traitements de l'image.
Le programme devrait s'affiner dans les semaines qui viennent et les premières propositions de we venir ensuite.
Pour parler aussi de Stéphane, dont on parle beaucoup en ce moment, au travers de son exposition et d'un livre rempli d'émotions en noir et blanc.
C'est chouette...
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