Mercredi soir...
Un grand merci à Daniel CHENOT, qui a saisi dans son objectif notre remontée du Fort National.
Alors que nous procédions au décrochage, des personnes qui venaient là pour l'exposition nous ont aimablement prêté la main pour ramener les tableaux sur la terre ferme.
L'image est suffisamment insolite pour que nous nous empressions d'aller demander à ce photographe s'il accepterait de nous envoyer le cliché.
Je le remercie ce soir chaleureusement...
Et je vous renvoie à son site http://www.danielchenot.com
Le vent de noroît souffle et nous devons tenir fermement les tableaux pour qu'ils ne s'envolent pas
L'air est vivifiant, et les tableaux s'accordent vraiment bien avec cet environnement
Certains d'entre eux sont depuis ce soir accrochés dans les chambres.
Nous avons reçu les cimaises et c'est un vrai plaisir de voir la maison s'habiller de cette façon...
Les photos vont suivre dans le blog et sur le site
mercredi 29 avril 2009
lundi 27 avril 2009
On fait le compte
La Haute Flourie, lundi soir...
Le week-end a été marqué par notre premier raout, en forme de pot de fin chantier. 60 personnes étaient conviées : tous ceux et celles qui ont participé un peu, beaucoup, voir passionnément à la transformation de la maison et de son jardin. Un vrai plaisir pour nous de recevoir enfin, et sous le soleil d'une fin d'après midi de printemps.
Les photos viendront plus tard...
Les hôtes se succèdent et les chambres s'achèvent. Elles sont toutes réservées pour le we prochain.
Il est temps que l'urgence de cet aménagement s'achève. Nous commençons à saturer un peu. Le jardin n'attendra pas longtemps qu'on s'occupe aussi de lui : les rosiers ont faim, les massifs demandent à être éclaircis, nettoyés et organisés. La pelouse aurait bien besoin d'une scarification mais je crains qu'elle ne doive attendre le début de l'automne pour être remaniée, carrément.
Nous recevons les cimaises dans les prochains jours : le temps, enfin, de procéder aux accrochages. La couleur des photos et des tableaux me manque.
Demain, on met en ligne quelques photos des deux dernières chambres...
Le week-end a été marqué par notre premier raout, en forme de pot de fin chantier. 60 personnes étaient conviées : tous ceux et celles qui ont participé un peu, beaucoup, voir passionnément à la transformation de la maison et de son jardin. Un vrai plaisir pour nous de recevoir enfin, et sous le soleil d'une fin d'après midi de printemps.
Les photos viendront plus tard...
Les hôtes se succèdent et les chambres s'achèvent. Elles sont toutes réservées pour le we prochain.
Il est temps que l'urgence de cet aménagement s'achève. Nous commençons à saturer un peu. Le jardin n'attendra pas longtemps qu'on s'occupe aussi de lui : les rosiers ont faim, les massifs demandent à être éclaircis, nettoyés et organisés. La pelouse aurait bien besoin d'une scarification mais je crains qu'elle ne doive attendre le début de l'automne pour être remaniée, carrément.
Nous recevons les cimaises dans les prochains jours : le temps, enfin, de procéder aux accrochages. La couleur des photos et des tableaux me manque.
Demain, on met en ligne quelques photos des deux dernières chambres...
jeudi 23 avril 2009
Le site web enfin à jour !
La V1 est enfin en ligne.
Les informations de base
Une charte graphique simple
Je suis à votre écoute pour toutes les critiques et autres conseils que vous pourriez me faire pour l'améliorer
La Haute Flourie
Les informations de base
Une charte graphique simple
Je suis à votre écoute pour toutes les critiques et autres conseils que vous pourriez me faire pour l'améliorer
La Haute Flourie
samedi 18 avril 2009
Nouvelle étape !
La Haute Flourie, samedi soir.
Une photo de la statue de Duguay Trouin, dont on me dit qu'il est dommage qu'il ne soit pas plus présent dans la maison
A voir, et à suivre, au cours de nos pérégrinations historiques.
Hortense était quant à elle contente d'apprendre que la fille du premier propriétaire de la maison s'appelait Jacquotte.
Un drôle de prénom, quand même, selon elle.
A voir, et à suivre, au cours de nos pérégrinations historiques.
Hortense était quant à elle contente d'apprendre que la fille du premier propriétaire de la maison s'appelait Jacquotte.
Un drôle de prénom, quand même, selon elle.
De nouveaux hôtes se sont annoncés pour ce soir. D'une façon ou d'une autre, ils sont arrivés sur le blog, et se sont amusés, apparemment, de se retrouver partie prenante de cette histoire. Encore faut-il que je le poursuive. Les jours passent, l'expérience change de consistance, et je serais frustré de ne pas poursuivre ce petit cheminement scriptural. Ces petits moments dérobés, pendant lesquels je me penche sur notre quotidien sont une saine évasion, qui n'a pas peu compté dans le plaisir de ces premiers mois.
Deux perspectives éclairent cette semaine : nos premiers hôtes, bien entendu, et le jardin.
Les aménagements intérieurs de la maison n'offrent pas d'excitation particulière : peinture, enduit, peinture encore, réagréage, petite menuiserie, finitions électriques, vernis, pose de radiateurs, de sèches serviettes, fixation des tablettes, du support de verre à dent, des portes de douches, pose et lissage du mastic pour l'étanchéité des douches... et la liste n'est pas exhaustive.
J'attends impatiemment désormais de recevoir mes cimaises pour commencer à accrocher tableaux et photos dans les chambres, sur les paliers et dans l'entrée...
Mais revenons à nos premiers invités. Car nous sommes évidemment dans la période des premières fois : le premier bébé, les premiers régimes sans sucre ou sans sel (moins gênant pour le petit déjeuner), le premier chien. Le plus important n'est pas là, mais bel et bien dans la rencontre. Les profils sont variés, tant dans l'age que dans l'origine géographique ou le marquage sociologique. Les discussions ont généralement lieu le matin, pendant et après le petit déjeuner. Nos hôtes sont détendus, signe qu'ils ont bien dormi; je l'espère en tout cas.
Du coup, on prend violemment conscience que c'est là l'activité qu'on attend d'avoir au quotidien et qu'il importe maintenant que les chambres soient habitées le plus souvent possible.
Après le marteau piqueur et ces mois de chantier, on réalise qu'un nouvel impératif pèse sur nos journées : faire savoir que cette maison est ouverte, qu'on peut y dormir, et si possible plus que cela. Alors, on abandonne avec soulagement le pantalon qu'il nous tarde vraiment de jeter à la poubelle pour enfiler une tenue propre, chaussée de mocassins souples, pour se planter devant l'ordinateur.
On quitte les sites de bricolage pour lancer dreamweaver et photoshop. Les heures s'écoulent à rassembler des photos, à construire des images, à mettre en page des lignes de code pour que le plus rapidement possible, le nouveau site soit mis en ligne. C'est seulement une fois cet outil réalisé que nous pourrons entreprendre son référencement sur différents portails spécialisés dans les prestations d'hébergement.
L'objet de mon intérêt, plus puisssant que jamais, réside toujours dans le jardin. Les fruitiers et d'autres que je n'identifie pas inondent l'espace de fleurs par milliers. C'est trop beau ! Et chaque jour m'apporte son lot de nouvelles pousses, que je me réjouis de voir s'épanouir, ou que je vais devoir enlever. Car les mauvaises herbes sont tout aussi vivaces, voir plus, que celles que l'on désire...
Photos à venir.
Il fait encore beau, et en attendant de prendre un apéritif bien mérité avec nos invités, et quelque copain de passage, je m'en vais taper quelques volants...
Deux perspectives éclairent cette semaine : nos premiers hôtes, bien entendu, et le jardin.
Les aménagements intérieurs de la maison n'offrent pas d'excitation particulière : peinture, enduit, peinture encore, réagréage, petite menuiserie, finitions électriques, vernis, pose de radiateurs, de sèches serviettes, fixation des tablettes, du support de verre à dent, des portes de douches, pose et lissage du mastic pour l'étanchéité des douches... et la liste n'est pas exhaustive.
J'attends impatiemment désormais de recevoir mes cimaises pour commencer à accrocher tableaux et photos dans les chambres, sur les paliers et dans l'entrée...
Mais revenons à nos premiers invités. Car nous sommes évidemment dans la période des premières fois : le premier bébé, les premiers régimes sans sucre ou sans sel (moins gênant pour le petit déjeuner), le premier chien. Le plus important n'est pas là, mais bel et bien dans la rencontre. Les profils sont variés, tant dans l'age que dans l'origine géographique ou le marquage sociologique. Les discussions ont généralement lieu le matin, pendant et après le petit déjeuner. Nos hôtes sont détendus, signe qu'ils ont bien dormi; je l'espère en tout cas.
Du coup, on prend violemment conscience que c'est là l'activité qu'on attend d'avoir au quotidien et qu'il importe maintenant que les chambres soient habitées le plus souvent possible.
Après le marteau piqueur et ces mois de chantier, on réalise qu'un nouvel impératif pèse sur nos journées : faire savoir que cette maison est ouverte, qu'on peut y dormir, et si possible plus que cela. Alors, on abandonne avec soulagement le pantalon qu'il nous tarde vraiment de jeter à la poubelle pour enfiler une tenue propre, chaussée de mocassins souples, pour se planter devant l'ordinateur.
On quitte les sites de bricolage pour lancer dreamweaver et photoshop. Les heures s'écoulent à rassembler des photos, à construire des images, à mettre en page des lignes de code pour que le plus rapidement possible, le nouveau site soit mis en ligne. C'est seulement une fois cet outil réalisé que nous pourrons entreprendre son référencement sur différents portails spécialisés dans les prestations d'hébergement.
L'objet de mon intérêt, plus puisssant que jamais, réside toujours dans le jardin. Les fruitiers et d'autres que je n'identifie pas inondent l'espace de fleurs par milliers. C'est trop beau ! Et chaque jour m'apporte son lot de nouvelles pousses, que je me réjouis de voir s'épanouir, ou que je vais devoir enlever. Car les mauvaises herbes sont tout aussi vivaces, voir plus, que celles que l'on désire...
Photos à venir.
Il fait encore beau, et en attendant de prendre un apéritif bien mérité avec nos invités, et quelque copain de passage, je m'en vais taper quelques volants...
dimanche 12 avril 2009
Remerciements
Un grand merci pour les commentaires et tous les petits mots envoyés en off. Au delà des statistiques, ces témoignages sont toujours un plaisir à lire, et à recevoir.
Vernissage au Fort National !
Un grand merci à Véronique. Cette invitation à venir exposer au Fort National pour l'ouverture de la saison, est l'occasion de vivre de grands moments.
Avec le sourire et une simplicité toute en délicatesse, Véronique a accueilli Séverine et Silvia Leveroni pour une exposition dans le corps de garde du Fort.
L'instant est magique. A 16h, le Fort est fermé et nous restons entre nous sur ce majestueux paquebot de pierre. Le soleil, dévoilé par un bon noroît, assure une gaieté et un air estival à l'évènement.
En bref, quelques heures de détente, passées en la compagnie d'amis, que nous n'avions pas vu depuis longtemps, pour certains.
Au menu de cette ouverture, un joueur de cornemuse, qui déambula dans le fort au milieu des visiteurs, en début d'après midi. Sympa...
Et les artistes.
Je ne montre pas les tableaux, et pourtant il le faudrait. Les murs chaulés, qui entourent les vastes cheminées, offrent un écrin insolite et majestueux à cette exposition.
Déjà, la veille, lorsqu'elle s'était rendue seule sur le Fort, pour effectuer son accrochage, Séverine avait ressentie une pure émotion à se retrouver là, en dehors du temps, au bord des flots, enveloppée par les effluves marines.
Au delà de la rencontre d'une artiste au parcours atypique, je remercie Silvia pour les mets italiens dont mon palais s'est délecté tout au long de cet après-midi...
Pour les rennais : rendez-vous à son atelier, au 5, rue Hoche. Elle y est tous les jours, et Silvia, autant que ses tableaux, valent le détour.
Avec le sourire et une simplicité toute en délicatesse, Véronique a accueilli Séverine et Silvia Leveroni pour une exposition dans le corps de garde du Fort.
L'instant est magique. A 16h, le Fort est fermé et nous restons entre nous sur ce majestueux paquebot de pierre. Le soleil, dévoilé par un bon noroît, assure une gaieté et un air estival à l'évènement.
En bref, quelques heures de détente, passées en la compagnie d'amis, que nous n'avions pas vu depuis longtemps, pour certains.
Au menu de cette ouverture, un joueur de cornemuse, qui déambula dans le fort au milieu des visiteurs, en début d'après midi. Sympa...
Et les artistes.
Je ne montre pas les tableaux, et pourtant il le faudrait. Les murs chaulés, qui entourent les vastes cheminées, offrent un écrin insolite et majestueux à cette exposition.
Déjà, la veille, lorsqu'elle s'était rendue seule sur le Fort, pour effectuer son accrochage, Séverine avait ressentie une pure émotion à se retrouver là, en dehors du temps, au bord des flots, enveloppée par les effluves marines.
Au delà de la rencontre d'une artiste au parcours atypique, je remercie Silvia pour les mets italiens dont mon palais s'est délecté tout au long de cet après-midi...
Pour les rennais : rendez-vous à son atelier, au 5, rue Hoche. Elle y est tous les jours, et Silvia, autant que ses tableaux, valent le détour.
jeudi 9 avril 2009
Jour J !!!
La chambre 2, et comme on peut le voir, rouge et grise...
Ils ont appelé avant-hier à l'improviste, et sont arrivés de Belgique en fin d'après-midi.
La course a été intense jusqu'au bout. A peine avais-je terminé d'encaustiquer l'escalier pour faire disparaitre les traces des godillots poussiéreux laissés par les travailleurs et visiteurs que nous entendions le gravier crisser. Pendant que je me changeai à la hâte, Séverine a étrenné son rôle de maîtresse des lieux.
Nous pensions leur offrir une coupe de champagne, mais Monsieur est au régime sans sucre, ainsi que nosu l'apprenons lorsque Séverine s'enquiert de ce qu'ils souhaitent prendre pour leur petit déjeuner, et qu'elle se voit répondre : "de la confiture sans sucre !". Mince alors, encore une chose à laquelle nous n'avions pas pensé. Et il y en aura d'autres sans doute.
Ce matin, après un petit déjeuner copieux, je leur ai dressé leur itinéraire de promenade de la journée. Nul doute qu'ils vont revenir rincer, de fatigue et par la pluie, dont nous avons subi les assauts une bonne partie de la journée.
Notamment lorsque j'effectuai mon semis cet après-midi. Les bottes se chargeaient de terre, il devenait de plus en plus difficile de ratisser le terre, et après une tentative, je renonçai à passer le rouleau. Je dois attendre des jours meilleurs...
mardi 7 avril 2009
Vues du jardin
Enfin !
Quelques photos du jardin.
On distingue parcelle que nous venons de refaire avec Matthieu, avec, au premier plan en haut, les branches des pommiers en fleurs, suivies par le poirier, le pommier d'ornement, le noyer et sa cabane, à droite les pêchers de vignes et au loin, les cerisiers.
Quelques photos du jardin.
On distingue parcelle que nous venons de refaire avec Matthieu, avec, au premier plan en haut, les branches des pommiers en fleurs, suivies par le poirier, le pommier d'ornement, le noyer et sa cabane, à droite les pêchers de vignes et au loin, les cerisiers.
Je ne résiste pas à l'éclosion des pommes de pin : je n'avais jamais pris le temps d'observer cette "naissance"
Les ormes sont aussi en fleur
Sans parler des cerisiers !!! Comme nous en avons tuer un, il n'en reste que trois. On voit bien dés aujourd'hui que la production des cerises ne sera pas simultanée : les griottes sont largement en fleurs, mais les deux autres viennent à peine d'éclore.
Si je pouvais prendre le temps, je regarderais pousser cette végétation. La voir dans sa diversité, dans sa densité, et dans sa vivacité est un réel bonheur. Prendre ces quelques clichés, à toute allure, en me disant que si je ne le fais pas maintenant, cela ne sera pas fait. De fait, d'un jour à l'autre, le jardin change de visage et prendre ces photos permet surtout de créer un marqueur pour garder en mémoire le rythme de vie de ce paysage.
dimanche 5 avril 2009
Dimanche soir...
Finalement : Edgar a tondu toute la pelouse en moins de trois heures. Bravo !
Et nous avons préparé, en deux belles journées, avec Matthieu, une parcelle d'environ 400 m², prête à recevoir les semis d'ici la fin de la semaine.
Demain je prends des photos du jardin. La floraison de tous les arbres, cerisiers, pêchers, boulots, et autres arbustes est un régal pour les yeux. Les rosiers que nous taillâmes il n'y a pas si longtemps bourgeonnent déjà et de nombreuses feuilles bien rouges indiquent déjà la densité des fleurs que nous aurons bientôt.
La vigne vierge aussi, bien sur, qui va transformer la maison et lui donner son air estival.
Bref, deux jours en plein air = muscles endoloris; ampoules et l'envie pressante d'aller se coucher pour retrouver "le seigneur des porcheries", une bonne lecture trash, comme seule la littérature américaine contemporaine en produit, je trouve.
Et nous avons préparé, en deux belles journées, avec Matthieu, une parcelle d'environ 400 m², prête à recevoir les semis d'ici la fin de la semaine.
Demain je prends des photos du jardin. La floraison de tous les arbres, cerisiers, pêchers, boulots, et autres arbustes est un régal pour les yeux. Les rosiers que nous taillâmes il n'y a pas si longtemps bourgeonnent déjà et de nombreuses feuilles bien rouges indiquent déjà la densité des fleurs que nous aurons bientôt.
La vigne vierge aussi, bien sur, qui va transformer la maison et lui donner son air estival.
Bref, deux jours en plein air = muscles endoloris; ampoules et l'envie pressante d'aller se coucher pour retrouver "le seigneur des porcheries", une bonne lecture trash, comme seule la littérature américaine contemporaine en produit, je trouve.
samedi 4 avril 2009
La pelouse
Samedi matin 8h
Ça doit être l'heure de Nicolas le jardinier; à peine levé, je me sens porté par une force indicible qui me pousse vers le jardin.
Il faut dire que depuis trois semaines, tondeuses vrombissent et me rappellent à chaque instant que je suis, pour le moment, dans l'incapacité de tondre ma pelouse.
Et l'herbe, comme le reste du règne végétal en cette période, est en pleine croissance. Notre jardin n'est pas loin de ressembler à une prairie. L'herbe y est grasse, elle pousse par touffes, et de nombreuses irrégularités marquent le terrain. Ça a son charme, bien sur, mais avouons le tout de suite : on s'attend quand même plutôt à trouver un jardin entretenu.
C'est pourquoi j'ai décidé de prendre les choses en main. Nous avons défriché cet hiver et tâcher de mettre un peu d'ordre dans la grosse végétation; il importe maintenant de s'attaquer au sol et aux garnitures. Si l'on suit le calendrier, je suis même en retard. Et pour commencer, nous allons refaire la pelouse sur la parcelle que je destine à l'agrément de nos hôtes. Ils seront isolés du salon de jardin par une volée de rosiers sur un carré délimité par des arbres fruitiers (le cerisier, le noyer, les pêchers de vignes, qui sont déjà en fleur, soit dit en passant et un massif de bambous). Afin faciliter l'accès à cet espace d'un bon mètre en surplomb de la terrasse, je dois aussi construire un escalier, actuellement en cogitation.
Et la pelouse doit y être dense et caressante, on doit pouvoir, si l'envie nous prend de s'y affaler, sans pâtir d'un caillou ou d'un trou. Les hostilités commencent ce matin, par la location d'un motoculteur. Erwan et Matthieu se sont affrontés à distance, mais d'autres personnes, des hommes toujours, ont un avis assez arrêtés sur ce genre de sujet, dont je pourrais énumérer quelques points épineux.
Cependant, afin de ne pas rentrer dans des détails par trop indigestes, disons que les méthodes diffèrent pour parvenir à un résultat voulu par tous : une terre quasi poudreuse et débarrassée de toutes ses scories, et en particulier des restes de gazon.
Ce matin il pleut
Les minutes passent et des décisions doivent être prises rapidement pour qu'à l'issue du we, le jardin aie pris une nouvelle tournure...
Il faut dire que depuis trois semaines, tondeuses vrombissent et me rappellent à chaque instant que je suis, pour le moment, dans l'incapacité de tondre ma pelouse.
Et l'herbe, comme le reste du règne végétal en cette période, est en pleine croissance. Notre jardin n'est pas loin de ressembler à une prairie. L'herbe y est grasse, elle pousse par touffes, et de nombreuses irrégularités marquent le terrain. Ça a son charme, bien sur, mais avouons le tout de suite : on s'attend quand même plutôt à trouver un jardin entretenu.
C'est pourquoi j'ai décidé de prendre les choses en main. Nous avons défriché cet hiver et tâcher de mettre un peu d'ordre dans la grosse végétation; il importe maintenant de s'attaquer au sol et aux garnitures. Si l'on suit le calendrier, je suis même en retard. Et pour commencer, nous allons refaire la pelouse sur la parcelle que je destine à l'agrément de nos hôtes. Ils seront isolés du salon de jardin par une volée de rosiers sur un carré délimité par des arbres fruitiers (le cerisier, le noyer, les pêchers de vignes, qui sont déjà en fleur, soit dit en passant et un massif de bambous). Afin faciliter l'accès à cet espace d'un bon mètre en surplomb de la terrasse, je dois aussi construire un escalier, actuellement en cogitation.
Et la pelouse doit y être dense et caressante, on doit pouvoir, si l'envie nous prend de s'y affaler, sans pâtir d'un caillou ou d'un trou. Les hostilités commencent ce matin, par la location d'un motoculteur. Erwan et Matthieu se sont affrontés à distance, mais d'autres personnes, des hommes toujours, ont un avis assez arrêtés sur ce genre de sujet, dont je pourrais énumérer quelques points épineux.
Cependant, afin de ne pas rentrer dans des détails par trop indigestes, disons que les méthodes diffèrent pour parvenir à un résultat voulu par tous : une terre quasi poudreuse et débarrassée de toutes ses scories, et en particulier des restes de gazon.
Ce matin il pleut
Les minutes passent et des décisions doivent être prises rapidement pour qu'à l'issue du we, le jardin aie pris une nouvelle tournure...
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