samedi 18 avril 2009

Nouvelle étape !

La Haute Flourie, samedi soir.





Une photo de la statue de Duguay Trouin, dont on me dit qu'il est dommage qu'il ne soit pas plus présent dans la maison
A voir, et à suivre, au cours de nos pérégrinations historiques.
Hortense était quant à elle contente d'apprendre que la fille du premier propriétaire de la maison s'appelait Jacquotte.
Un drôle de prénom, quand même, selon elle.



De nouveaux hôtes se sont annoncés pour ce soir. D'une façon ou d'une autre, ils sont arrivés sur le blog, et se sont amusés, apparemment, de se retrouver partie prenante de cette histoire. Encore faut-il que je le poursuive. Les jours passent, l'expérience change de consistance, et je serais frustré de ne pas poursuivre ce petit cheminement scriptural. Ces petits moments dérobés, pendant lesquels je me penche sur notre quotidien sont une saine évasion, qui n'a pas peu compté dans le plaisir de ces premiers mois.

Deux perspectives éclairent cette semaine : nos premiers hôtes, bien entendu, et le jardin.
Les aménagements intérieurs de la maison n'offrent pas d'excitation particulière : peinture, enduit, peinture encore, réagréage, petite menuiserie, finitions électriques, vernis, pose de radiateurs, de sèches serviettes, fixation des tablettes, du support de verre à dent, des portes de douches, pose et lissage du mastic pour l'étanchéité des douches... et la liste n'est pas exhaustive.

J'attends impatiemment désormais de recevoir mes cimaises pour commencer à accrocher tableaux et photos dans les chambres, sur les paliers et dans l'entrée...

Mais revenons à nos premiers invités. Car nous sommes évidemment dans la période des premières fois : le premier bébé, les premiers régimes sans sucre ou sans sel (moins gênant pour le petit déjeuner), le premier chien. Le plus important n'est pas là, mais bel et bien dans la rencontre. Les profils sont variés, tant dans l'age que dans l'origine géographique ou le marquage sociologique. Les discussions ont généralement lieu le matin, pendant et après le petit déjeuner. Nos hôtes sont détendus, signe qu'ils ont bien dormi; je l'espère en tout cas.
Du coup, on prend violemment conscience que c'est là l'activité qu'on attend d'avoir au quotidien et qu'il importe maintenant que les chambres soient habitées le plus souvent possible.
Après le marteau piqueur et ces mois de chantier, on réalise qu'un nouvel impératif pèse sur nos journées : faire savoir que cette maison est ouverte, qu'on peut y dormir, et si possible plus que cela. Alors, on abandonne avec soulagement le pantalon qu'il nous tarde vraiment de jeter à la poubelle pour enfiler une tenue propre, chaussée de mocassins souples, pour se planter devant l'ordinateur.
On quitte les sites de bricolage pour lancer dreamweaver et photoshop. Les heures s'écoulent à rassembler des photos, à construire des images, à mettre en page des lignes de code pour que le plus rapidement possible, le nouveau site soit mis en ligne. C'est seulement une fois cet outil réalisé que nous pourrons entreprendre son référencement sur différents portails spécialisés dans les prestations d'hébergement.

L'objet de mon intérêt, plus puisssant que jamais, réside toujours dans le jardin. Les fruitiers et d'autres que je n'identifie pas inondent l'espace de fleurs par milliers. C'est trop beau ! Et chaque jour m'apporte son lot de nouvelles pousses, que je me réjouis de voir s'épanouir, ou que je vais devoir enlever. Car les mauvaises herbes sont tout aussi vivaces, voir plus, que celles que l'on désire...

Photos à venir.
Il fait encore beau, et en attendant de prendre un apéritif bien mérité avec nos invités, et quelque copain de passage, je m'en vais taper quelques volants...





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