Ma chambre d'hôte, J-xxxxx
Alors, que Pascal (ci-dessous) revenait nous donner un coup de main pour la seconde journée consécutive, on lui avait réservé un job à la coule : casser une cloison en placo. Ce qui devait être facile, pourtant, et comme souvent depuis le début, s'avéra un peu plus compliqué.
Car derrière le BA13, nous trouvâmes une belle cloison avec menuiserie en cimaise, sur enduit de plâtre fixé sur lattis et torchis.
Alors, que Pascal (ci-dessous) revenait nous donner un coup de main pour la seconde journée consécutive, on lui avait réservé un job à la coule : casser une cloison en placo. Ce qui devait être facile, pourtant, et comme souvent depuis le début, s'avéra un peu plus compliqué.
Car derrière le BA13, nous trouvâmes une belle cloison avec menuiserie en cimaise, sur enduit de plâtre fixé sur lattis et torchis.
le carnage !
Et à nouveau, une forme de désappointement mêlé d'effroi : un vrai sentiment de tristesse m'emplit à la vue de ce travail séculaire mis à bas. Une nouvelle trace du passé qui disparaît; que je fait disparaitre, alors que je me targue de vouloir restaurer la maison dans son jus d'origine.
Il faut bien que je fasse fi de ces sentiments, car c'est en reculant la cloison que nous pourrons offrir à nos hôtes une plus belle chambre, donc une meilleure expérience, et in fine, par cette satisfaction obtenue, des moyens supplémentaires pour prendre bien soin de la maison...
Il faut bien que je fasse fi de ces sentiments, car c'est en reculant la cloison que nous pourrons offrir à nos hôtes une plus belle chambre, donc une meilleure expérience, et in fine, par cette satisfaction obtenue, des moyens supplémentaires pour prendre bien soin de la maison...
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