Alors croquons là attentivement, et découvrons ensemble les premières pistes qui s'ouvrent pour l'ouverture évènementielle de la Haute Flourie.
On est encore très loin d'un programme ou d'une ligne claire qui dirigerait le choix des artistes comme celui des activités; mais enfin ! Sur la base de ce qui est réalisable à court terme, et des réflexions en court, voilà où nous en sommes.
Je sais, chers lecteurs, que certains d'entre vous m'ont déjà entendu parlé de la Bibliothèque et du lieu dans lequel nous pourrions continuer à organiser des expositions.
Celles-ci devraient commencer d'abord par investir la maison, de façon à se fondre dans le décor; à force de le créer. Les chambres, en particulier, offrent un terrain d'exercice et d'expression qui me semble intéressant. En effet, cet espace "restreint", à la fois dans ces dimensions spatiales et dans la relation singulière qu'il propose entre celui qui s'expose et celui, de passage, qui pose son regard sur lui. Ce n'est pas un espace public au sens commun, la chambre où l'on va s'endormir...
Et ce sont plutôt des photographes, aujourd'hui, qui croisent ma route. Le voyage, ou devrais-je dire le retour de voyage, offre le fil conducteur qui guide certains de ces regards. Le sujet n'est pas forcément celui que l'on croit de prime abord. A vrai dire, les quatre chambres pourraient avoir très bientôt leurs premières expositions. Des difficultés se présentent néanmoins, qu'il faudra résoudre afin de goûter la joie de vous présenter ainsi qu'aux visiteurs de passage, des travaux qui résultent de vies assez singulières...
Cependant, j'avoue avoir un faible, déjà, pour ma bibliothèque. Le principe est simple : les livres doivent vivre et pour cela être lus. Ils ne servent à rien s'ils ne suscitent pas régulièrement un désir. C'est pourquoi je souhaite que la bibliothèque soit ouverte à l'emprunt. Un emprunt original, toutefois, puisse qu'il est considéré comme définitif immédiatement et conditionné par le dépôt d'un autre livre.
Ce qui compte, c'est que cela devienne son livre. Car on en fait ce qu'on veux : on le laisse trainer, on le dévore, on le déchire, on renverse du thé ou du café sur des pages cornées... Peut-être un jour reviendra-t-il à la Flourie. Ce n'est pas le destin que je lui souhaite forcément.
Car il pourrait receler plus que son contenu original, telle qu'une sorte de dédicace laissée là par le précédent propriétaire, ne serait-ce que le premier.
Lorsque cette bibliothèque arrivera, cela donnera lieu à une célébration auxquels seront conviés les lecteurs, ceux en tout cas qui auront plaisir à garnir les rayonnages de ce meuble de leurs premiers effets; ceux pour qui cette histoire de bibliothèque peut être une occasion drôle de rencontrer quelqu'un par les livres qu'il a lus, et qu'il recommande. C'est donc un don précieux que je réclamerais pour cette création de la bibliothèque de la Haute Flourie : "un ou deux livres que j'ai aimés ?"
Vivement, non ?
On est encore très loin d'un programme ou d'une ligne claire qui dirigerait le choix des artistes comme celui des activités; mais enfin ! Sur la base de ce qui est réalisable à court terme, et des réflexions en court, voilà où nous en sommes.
Je sais, chers lecteurs, que certains d'entre vous m'ont déjà entendu parlé de la Bibliothèque et du lieu dans lequel nous pourrions continuer à organiser des expositions.
Celles-ci devraient commencer d'abord par investir la maison, de façon à se fondre dans le décor; à force de le créer. Les chambres, en particulier, offrent un terrain d'exercice et d'expression qui me semble intéressant. En effet, cet espace "restreint", à la fois dans ces dimensions spatiales et dans la relation singulière qu'il propose entre celui qui s'expose et celui, de passage, qui pose son regard sur lui. Ce n'est pas un espace public au sens commun, la chambre où l'on va s'endormir...
Et ce sont plutôt des photographes, aujourd'hui, qui croisent ma route. Le voyage, ou devrais-je dire le retour de voyage, offre le fil conducteur qui guide certains de ces regards. Le sujet n'est pas forcément celui que l'on croit de prime abord. A vrai dire, les quatre chambres pourraient avoir très bientôt leurs premières expositions. Des difficultés se présentent néanmoins, qu'il faudra résoudre afin de goûter la joie de vous présenter ainsi qu'aux visiteurs de passage, des travaux qui résultent de vies assez singulières...
Cependant, j'avoue avoir un faible, déjà, pour ma bibliothèque. Le principe est simple : les livres doivent vivre et pour cela être lus. Ils ne servent à rien s'ils ne suscitent pas régulièrement un désir. C'est pourquoi je souhaite que la bibliothèque soit ouverte à l'emprunt. Un emprunt original, toutefois, puisse qu'il est considéré comme définitif immédiatement et conditionné par le dépôt d'un autre livre.
Ce qui compte, c'est que cela devienne son livre. Car on en fait ce qu'on veux : on le laisse trainer, on le dévore, on le déchire, on renverse du thé ou du café sur des pages cornées... Peut-être un jour reviendra-t-il à la Flourie. Ce n'est pas le destin que je lui souhaite forcément.
Car il pourrait receler plus que son contenu original, telle qu'une sorte de dédicace laissée là par le précédent propriétaire, ne serait-ce que le premier.
Lorsque cette bibliothèque arrivera, cela donnera lieu à une célébration auxquels seront conviés les lecteurs, ceux en tout cas qui auront plaisir à garnir les rayonnages de ce meuble de leurs premiers effets; ceux pour qui cette histoire de bibliothèque peut être une occasion drôle de rencontrer quelqu'un par les livres qu'il a lus, et qu'il recommande. C'est donc un don précieux que je réclamerais pour cette création de la bibliothèque de la Haute Flourie : "un ou deux livres que j'ai aimés ?"
Vivement, non ?
excellent !
RépondreSupprimerma contribution :
la conjuration des imbeciles
las vegas parano
faut que j'y pense