La Haute FLourie, jeudi soir
Nous aurions pu lancer cet appel hier, lorsque nous accostâmes avec armes, bagages, et lits, surtout, à la Flourie.
Un déménagement harassant (environ 100 m3), réalisé dans une certaine improvisation.
Une fois les parquets et planchers poncés, il fallut dépoussiérer toutes les pièces, y compris les murs !! Puis, nous pûmes enfin passer la soirée à appliquer les deux couches de protection. Sauf pour notre chambre dont nous avons décidé de peindre le parquet en gris perle.
Alors il devint plausible de nous envisager ici pour la première nuit. Au réveil, nous entreprîmes, avec Marckau, une énième tournée à la déchetterie. Le camion était à nouveau rempli, et j'emportai aussi le fameux linteau en béton (que nous déplaçâmes à quatre), que j'avais fait tombé dans la voute.
Au retour, il me semblait logique de s'arrêter à la maison pour la vider un peu plus et avoir ainsi, une vision plus claire du volume restant à déplacer après midi. Pendant le déjeuner, je pris vite la décision d'aller voir Monsieur Avis, mon ancien voisin et loueur préféré, pour lui prendre un 21 m3. Je n'avais pas d'autre alternative à ce moment là pour ramener la vitrine de Séverine, qui est très haute et très large ! En fait de quoi, Nous eûmes besoin de deux allers et retours supplémentaires pour finir de débarrasser la maison.
Hier soir, nous étions si fatigués que nous ne pûmes fêter dignement cette première nuit. Le grand réconfort, pour moi, vint des enfants. Alors qu'ils manifestent facilement des sentiments contradictoires sur leur vie à la Flourie, nous pouvions être réconfortés de les voir aussi contents de se retrouver à dormir sur les vieux planchers rafistolés. Il est vrai que, d'emblée, ils ressentent la présence du passé, le cocon façonné par les générations qui se sont succédées dans cet endroit. Ca compte !
Nous n'aurons pas eu le temps, cependant, de savourer la réalisation de cet objectif. De menus évènements nous ramnènent à la priorité de notre action : être prêts pour l'ouverture officielle le 7 avril. Autant l'avouer, je préférerais, pour quelques nuits, avoir la complicité bienveillante de certains cobayes, qui nous permetraient d'ajuster le tir, si besoin est ?
Nous aurions pu lancer cet appel hier, lorsque nous accostâmes avec armes, bagages, et lits, surtout, à la Flourie.
Un déménagement harassant (environ 100 m3), réalisé dans une certaine improvisation.
Une fois les parquets et planchers poncés, il fallut dépoussiérer toutes les pièces, y compris les murs !! Puis, nous pûmes enfin passer la soirée à appliquer les deux couches de protection. Sauf pour notre chambre dont nous avons décidé de peindre le parquet en gris perle.
Alors il devint plausible de nous envisager ici pour la première nuit. Au réveil, nous entreprîmes, avec Marckau, une énième tournée à la déchetterie. Le camion était à nouveau rempli, et j'emportai aussi le fameux linteau en béton (que nous déplaçâmes à quatre), que j'avais fait tombé dans la voute.
Au retour, il me semblait logique de s'arrêter à la maison pour la vider un peu plus et avoir ainsi, une vision plus claire du volume restant à déplacer après midi. Pendant le déjeuner, je pris vite la décision d'aller voir Monsieur Avis, mon ancien voisin et loueur préféré, pour lui prendre un 21 m3. Je n'avais pas d'autre alternative à ce moment là pour ramener la vitrine de Séverine, qui est très haute et très large ! En fait de quoi, Nous eûmes besoin de deux allers et retours supplémentaires pour finir de débarrasser la maison.
Hier soir, nous étions si fatigués que nous ne pûmes fêter dignement cette première nuit. Le grand réconfort, pour moi, vint des enfants. Alors qu'ils manifestent facilement des sentiments contradictoires sur leur vie à la Flourie, nous pouvions être réconfortés de les voir aussi contents de se retrouver à dormir sur les vieux planchers rafistolés. Il est vrai que, d'emblée, ils ressentent la présence du passé, le cocon façonné par les générations qui se sont succédées dans cet endroit. Ca compte !
Nous n'aurons pas eu le temps, cependant, de savourer la réalisation de cet objectif. De menus évènements nous ramnènent à la priorité de notre action : être prêts pour l'ouverture officielle le 7 avril. Autant l'avouer, je préférerais, pour quelques nuits, avoir la complicité bienveillante de certains cobayes, qui nous permetraient d'ajuster le tir, si besoin est ?
Car nous recevons déjà des appels pour des weeks-ends assez proches, et à ce compte là, je réalise qu'il est impératif d'avoir par devers soi, une grille complète d'informations. Celle-ci est malheureusement rudimentaire aujourd'hui, n'ayant de photos de chambres, ni même de la maison telle qu'elle va se présenter dans les jours qui viennent, dans ses parties communes. Et je dois déjà remercier Anne et Sophie, pour leur bienveillance et leur confiance...
Des chantiers de différente nature vont désormais coexister, et j'en suis ravi. L'un de ceux-ci consiste précisément à profiter de cette maison.
Enfin, la sensation du voyage est renforcée par autre chose : je profite ce soir d'une connexion sans fil qui m'a été prêtée par Maurice-Pierre. Mon cher beau-père, en me proposant ce service, se rendait sans doute compte qu'il allait me sauver d'un péril terrible : être déconnecté !
Ce que je ne savais pas, c'est que j'allais me retrouver à surfer sur un 56k bousté, me ramenant ainsi à mes connexions de la fin des 90's, ou bien à Bali, ou encore en Inde... Mais non, je suis à Saint Malo, et je ne rêve pas, je vis maintenant dans cette maison singulière la Haute FLourie
Pierre-Yves est content
s Des chantiers de différente nature vont désormais coexister, et j'en suis ravi. L'un de ceux-ci consiste précisément à profiter de cette maison.
Enfin, la sensation du voyage est renforcée par autre chose : je profite ce soir d'une connexion sans fil qui m'a été prêtée par Maurice-Pierre. Mon cher beau-père, en me proposant ce service, se rendait sans doute compte qu'il allait me sauver d'un péril terrible : être déconnecté !
Ce que je ne savais pas, c'est que j'allais me retrouver à surfer sur un 56k bousté, me ramenant ainsi à mes connexions de la fin des 90's, ou bien à Bali, ou encore en Inde... Mais non, je suis à Saint Malo, et je ne rêve pas, je vis maintenant dans cette maison singulière la Haute FLourie
Pierre-Yves est content
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